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Mariam N’diaye, amoureuse de voyages

« May tu vas où encore » c’est une plateforme créée par Mariam N’diaye, co-fondatrice de Broke and Abroad, pour partager ses aventures et bons plans aux quatre coins du monde. Rendez-vous avec une des 5 finalistes aux ADICOMAWARDS de la catégorie voyage, parrainée par Air France.

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Une globe-trotteur qui n’a pas peur de l’aventure.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
J’ai voyagé dans plus de 45 pays avec un petit budget, j’ai co-fondé un site de bons plans voyage pour permettre à tout le monde de voyager sans se ruiner, je voyage souvent seule.

Vous considérez-vous influenceuse ? Pourquoi ?
Je me considère créatrice de contenu. Car en voyage je prends des photos, des vidéos, je partage du contenu culturel mais aussi mes aventures.

 

Quelle est votre ligne éditoriale ?
« PEKIN EXPRESS »

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Jeunes femmes entre 18 et 34 ans qui aiment voyager

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Je reste moi-même à 100%

Quels sont vos projets en cours ?
Voyager et développer Broke and abroad

À quoi ressemble votre journée type ?
Je ne suis pas du tout organisée alors mes journées c’est du « freestyle ».

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
À mon manque d’organisation. Exemple : je réserve mes hôtels en voyage le jour j ou 24h à l’avance.

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Ma stratégie est de rester le plus naturel possible et de partager ce que moi j’aurais envie de voir sur Instagram : la véritable culture du pays ou je voyage, les paysages mais aussi les locaux.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Je ne suis pas de créateurs de contenus parce que lorsque je suis arrivée sur Instagram c’était pour partager mes photos avec mes amis, donc je ne follow que mes amis et depuis ca n’a pas changé. Mes influences sont dans les livres que je lis et les personnes que je rencontre dans mes voyages.

Pourquoi recommanderiez-vous aux marques de travailler avec vous ?
Mon naturel, ma créativité.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Voyager est la seule chose que l’on achète et qui nous rend plus riche.

Merci à Mariam pour son partage d’expérience ! Vous pouvez continuer à suivre ses aventures sur Instagram, Twitter ou encore YouTube ! Pour découvrir d’autres profils passionnants, rendez-vous sur notre blog

Les Gbês de Stoni : l’humour au cœur de ses créations

De chanteur à blogueur, Stoni se lance dans ses chroniques en 2016. En 2020, il devient finaliste aux ADICOMAWARDS dans la catégorie humour, parrainée par Gondwana-City Productions, et se consacre entièrement à sa passion depuis le début de l’année 2021.

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?

Franc et drôle

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

C’est en 2014 que je fais mes premiers pas dans le show-business avec une sortie musicale intitulée « tirer lancer » . La même année, je me retrouve au Maroc pour une tournée et c’est de là-bas que mon aventure sur internet mais cette fois-ci en tant que blogueur. En 2016, je transforme le nom de ma page de stonito love (mon nom de chanteur) à Stoni Love mon nom de blogueur. Par la suite je commence les chroniques où je décortique l’actualité avec franchise et humour. J’opte pour un nom plus évocateur « les gbês de stoni » pour dire les vérités de Stoni. Mais la passion de la scène ne m’a jamais quitté et c’est tout naturellement que je glisse vers l’humour. Début 2021 j’ai décidé de quitter mon métier pour me consacrer uniquement à l’humour et pour le moment je suis très heureux dans ce que je fais.

Vous considérez-vous influenceur.se ? Pourquoi ?

Je dirais oui car de par mes prises de position beaucoup de sujets ont trouvé réponse. Je prends le cas de jeunes filles qui ont été tabassées au Maroc en 2017. Grâce à ma dénonciation, le ministre de la femme a reçu ses jeunes demoiselles et je me rappelle qu’à l’époque France 24 ou les chaînes qui voulaient en savoir plus m’appelait.

Ensuite il a eu la question du racket à l’aéroport Felix Houphouet Boigny. J’ai été celui qui a touché du doigt ce problème et cela a suscité à l’époque une réunion d’urgence au niveau de l’aéroport et cette pratique a fortement baissé. Quand je voyage même, les douaniers me reconnaissent et me taquinent à chaque fois en disant « c’est toi qui a fait vidéo sur nous là ».

Il y a aussi les nombreux sujets liés au show-business ou même les problèmes de société comme récemment l’augmentation du coût de l’huile. Je suis le seul blogueur qui a été appelé par le ministre du commerce afin de participer à la conférence de presse qu’ils avaient organisé pour annoncer la suspension de cette augmentation. Cela est possible car je suis très suivi et surtout par les décideurs c’est pour cela que je fais très attention aux sujets que j’aborde car je sais que je suis écouté.

Quelle est votre ligne éditoriale ?

Ma ligne éditoriale est de sensibiliser par l’humour mais dans le respect.

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?

Je suis suivi par plus d’un million de personnes dont la tranche d’âge est comprise entre 35 et 65.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?

Je table sur les faits de société car ce sont des choses qui nous touchent tous. C’est original et c’est vrai. Je n’essaie pas d’aller dans un monde imaginaire car il y a tellement de problèmes à adresser que je trouve qu’il serait sérieux de d’abord s’en occuper avant de se projeter dans du fantasme ou des rêves. Cependant ces contenus restent très divertissants, ludiques mais pédagogiques.

Quels sont vos projets en cours ?

Je suis actuellement chroniqueur pour une chaîne de télévision et une web-TV.

À quoi ressemble votre journée type ?

Je termine l’écriture de mes scenarii la veille. Mon équipe est aussi informée et les acteurs savent avec quelles tenues jouer. On démarre la journée à 10 heures par un bon petit dej. Ensuite je leur donne le scénario. On fait une répétition avec le cadreur et quand tout est bon on tourne. Généralement on finit à 16 heures 17 heures la journée de tournage.

 

 

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Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?

Les défis ce sont d’abord les moyens financiers car pour un tournage on a souvent besoin d’espaces, il faut les louer, de voitures, de logistique en fait. Et aussi il faut gérer les acteurs donc quand on fait une vidéo qui n’est pas sponsorisée par une marque, ce n’est pas évident.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?

J’essaie aujourd’hui de créer des vidéos qui font en moyenne 3 minutes afin de permettre à tout le monde de suivre sans épuiser leur data. J’ai envie de réaliser des web-séries mais je pense que le public n’est pas encore prêt car ils sont accros aux vidéos courtes.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?

Personnellement je ne suis influencé que par ma ligne éditoriale, j’évite de faire comme les autres pour rester authentique.

Pourquoi recommanderiez-vous aux marques de travailler avec vous ?

Les marques sont à la recherche d’influenceurs suivis mais surtout qui ont une communauté engagée. Je peux dire que ma communauté me suit depuis très longtemps. Je pense que ce n’est pas le nombre d’abonnés qui compte mais c’est de savoir si ta communauté te suis parce que tu es une personnalité publique ou parce que tes contenus les inspirent. Moi je ne veux pas être dans le premier cas c’est pour cela que je ne suis jamais impliqué dans des bad buzz car je sais que ce sont des engagements éphémères qu’on récolte avec cette tactique. Ensuite il faut dire que Stoni c’est avant tout un professionnel dans tout ce qu’il fait et cela se ressent dans mes productions.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?

Une citation plutôt je dirais : « Quand le talent ne travaille pas, le travail dépasse toujours le talent. » Merci

 

Merci à Stoni pour son témoignage ! Continuez à le suivre sur Facebook, YouTube et Instagram. Si vous souhaitez découvrir d’autres profils, rendez-vous sur notre blog

 

 

Segano et ses vidéos humoristiques

Lauréat dans la catégorie Jeune Talent parrainée par CANAL+ lors des ADICOMAWARDS 2020, Segano produit des vidéos humoristiques diffusées via ses réseaux sociaux.

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Jeune talent très motivé

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
SEHI GAEL NOEL alias Segano. Je suis titulaire d’un Bac A1 et d’un BTS en communication visuelle. Après mon diplôme, je me suis lancé dans la production de films d’humour de courte durée sur les réseaux sociaux.

En 2017, j’ai publié ma toute première vidéo sur youtube puis en 2018, j’ai débuté ma carrière en solo. Mais depuis 2019, j’ai décidé de m’associer avec ma petite sœur. Elle s’appelle DOUMBIA Mairiam alias Mariam Djafoule et est en CE1.

Grâce aux réseaux sociaux, notamment Facebook et Youtube, nous sommes désormais considérés comme des stars du web ivoirien. Les commentaires, likes, vues et partages de nos vidéos témoignent à quel point ils sont suivis et appréciés par les internautes.

Actuellement, nous drainons plus de 595.000abonnés sur Youtube et plus de 1.million followers sur Facebook.

Vous considérez-vous influenceur.se ? Pourquoi ?
Oui parce que plein de jeunes me prennent comme exemple.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
À travers mes inspirations

Quels sont vos projets en cours ?
Me rendre dans un autre pays et collaborer avec d’autres web comédiens, un One Man show…

 

À quoi ressemble votre journée type ?
Tournage, tournage et tournage

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Je m’inspire des faits de vie et je veux collaborer avec d’autres web comédiens venant d’autres pays, dans le but de créer des contenus.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Takam , Sydney.

Pourquoi recommanderiez-vous aux marques de travailler avec vous ?
Nous sommes professionnels et avons une large audience dans divers pays.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Je tiens à remercier ADICOMAWARDS pour le trophée et les portes qu’ils nous ouvrent.

Merci à Segano pour son partage ! Continuez à suivre la troupe sur Facebook, Instagram ou encore YouTube

Mariam Sorelle, fondatrice du blog Africa Mousso

Mariam Sorelle, finaliste aux ADICOMAWARDS dans la catégorie ADICOM4GOOD Migrations, parrainée par Migrants As Messengers, s’est lancée dans la création de contenu avec son blog Africa Mousso

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Dynamique, autonome, passionnée de TIC et de voyages. Je suis créative et j’aime innover.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Je suis journaliste-bloggeuse, aujourd’hui spécialiste en Communication. Après mon bac littéraire, j’ai fait une licence en journalisme, puis un master en développement spécialité Communication & Médias.
J’ai exercé pendant trois ans le journalisme, par curiosité. Passionné du digital, je me suis lancée dans le blogging et cela fait bientôt 7 ans que je blogue.
Mon blog Africa Mousso, est une lucarne dédiée à la promotion de la femme. Le fer de lance de son combat est l’amélioration des conditions de la gente féminine en Afrique.

Vous considérez-vous influenceuse ? Pourquoi ?
Oui, parce que j’ai été parmi les 5 finalistes des ADICOMAWARDS lol. Pour dire vrai, pendant ces 7 ans de Blogging, je savais que j’avais des lecteurs au vu des interactions mais j’ignorais que j’avais une aussi grande communauté. Aujourd’hui, je me définis aisément comme une influenceuse parce que je sais que mes publications et interventions sur certains sujets suscitent de l’engagement ou de l’interaction autour de moi.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Promotion des droits de femmes

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
En abordant des faits de société, des sujets actualités

Quels sont vos projets en cours ?
Aujourd’hui c’est continué d’écrire (tenir mon blog) avec mon activité professionnelle j’ai du mal à tenir les deux bouts. Mais pour mes lecteurs je tente de maintenir le cap.

À quoi ressemble votre journée type ?
Boulot, blog puis faire des publications sur les réseaux sociaux

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
Collaborer avec les organismes internationales

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Faire des analyses, participer à l’éveil de conscience, appeler à l’action au travers de mes écrits

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Yehni Djidji, Tchonté Muriel.

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Parce que je tiens mes engagements, je produits des contenus de qualité (blog) et je suis très créative et j’aime innover

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Ma citation : « Dans les mains d’une femme africaine repose le destin de l’Afrique ».

 

Merci à Mariam pour sa contribution ! Continuez à la suivre sur son blog, sa page Facebook ou encore sur Instagram. Découvrez d’autres profils créatifs sur notre blog.

Axel Merryl, humoriste et vidéaste de talent

Axel Merryl, lauréat de la catégorie humour, parrainée par Gondwana-City Productions, partage ses passions (humour, danse) à travers ses vidéos sur les réseaux sociaux. Egalement à l’aise sur scène, il a déjà participé au Parlement du rire et à Abidjan Capitale du Rire aux côtés d’autres humoristes africains. 

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Même en deux mot je dirai « couteau Suisse » car je fais beaucoup de choses dans beaucoup de domaines

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
J’ai commencé les vidéos depuis 2014. Je faisais déjà des vidéos avec mon portable, des vidéos assez simples et je me suis orienté vers la danse aussi, puis la comédie. Au fil du temps, j’ai commencé à faire des courts-métrages pour améliorer mon côté acteur, donc je raconte plus d’histoires dans mes vidéos. Je fais en sorte que ceux qui me suivent puissent être touchés par ce que je raconte. Je fais aussi de la musique. Plus récemment, je me suis orienté vers la scène, notamment avec le Parlement du rire et Abidjan capitale du rire. Actuellement, je suis en France où je fais des études en cinématographie, réalisation de film, montage et effets spéciaux.

 

 

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Vous considérez-vous influenceur.se ? Pourquoi ?
Je me considère comme un influenceur parce que tout ce que je fais est suivi à la lettre par ceux qui sont abonnés à mes comptes. Tout ce que je partage comme informations est pris au sérieux, surtout que mes comptes sont certifiés et que j’ai une petite notoriété. Cela fait que beaucoup de ceux qui me suivent ont confiance lorsque je publie des contenus ou des simples publications.
Je peux influencer par ma manière de me coiffer, de m’habiller, ou encore de parler, il suffit de l’incorporer dans mes publications.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Je fais en sorte que quand quelqu’un vient sur mes réseaux sociaux, il ait envie de s’abonner. Je fais en sorte qu’il y ait tout pour qu’il ne puisse pas s’ennuyer, surtout que je fais de la danse, de l’humour, de la musique, un peu de tout : j’ai un contenu assez diversifié.

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Mon audience est assez basée en France, en Côte d’Ivoire, et dans plein d’autres pays en Afrique en Europe… même aux États-Unis, parce que je sous-titre certaines de mes vidéos.
Mon audience, je l’ai remarqué, aime bien quand je parle de faits de société sur tout ce qui se passe chez nous en Afrique. Je l’intègre donc souvent dans mes productions.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Créer un contenu attrayant revient à avoir de la qualité, que ce soit dans l’image ou le son, de belles couleurs, et faire ce que les gens aiment avant de faire ce que tu aimes, parce que sur les réseaux sociaux les abonnés sont rois.

Quels sont vos projets en cours ?
Actuellement je suis en train d’écrire un film. Je suis toujours sur le scénario et donc je cherche un réalisateur, quelqu’un pour produire le film. Si je réussis à avoir les fonds nécessaires, je le réaliserai moi-même. Tout ce que je veux, c’est jouer dans mon propre film.

À quoi ressemble votre journée type ?
Ma journée type est très simple : je me lève, je pense vidéos, je mange vidéos, je dors en vidéo.

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
C’est vrai que j’ai des petits problèmes de santé, mais les vidéos me permettent de traverser cette étape avec plus de courage et d’engagement. Il y aussi souvent des difficultés pour faire les vidéos, mais ce sont les aléas du métier. Je persévère !

 

 

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Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Je n’ai pas vraiment une stratégie de création, je me fie à mon imagination. Après je m’organise pour publier mon contenu. Je suis les statistiques de mes réseaux sociaux. Concernant mes envies de création, je souhaite m’orienter plus vers le cinéma, être plus face à la caméra que derrière, me concentrer sur mon jeu d’acteur.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Actuellement je n’ai pas vraiment d’influence. Mais je côtoie beaucoup d’influenceurs ou de créateurs de contenu avec qui je discute pour faire évoluer les choses, que ce soit de leur côté ou de mon côté. On a par exemple jojo, Sean bridon, Ange Freddy, Thé style, Paul-Yves.

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Je recommanderais aux marques de travailler avec moi parce que je suis très productif, je sais placer des produits très subtilement et je fais très attention à mon image. Je fais attention à ce qu’il n’y ait pas de vulgarité ou de malentendus pouvant porter atteinte à mon image, ainsi qu’aux marques qui travaillent avec moi.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Priez pour moi ❤️ J’en ai besoin

 

Merci à Axel pour sa contribution ! Continuez à le suivre sur Facebook, Instagram, TikTok… Et découvrez les autres finalistes des ADICOMAWARDS sur notre blog !

Vanessa, mumpreneur et maître crêpière

Vanessa Kuissu Tabeth Mbialeu est la lauréate des ADICOMAWARDS 2020, dans la catégorie food. À la tête d’un restaurant, elle partage du contenu culinaire sur la page Mmmh La crêperie et sa vie de mumpreneur sur sa page personnelle

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Maman Kamite. Mumpreneur. passionnée de la culture africaine et de ses nombreuses richesses

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Je suis une communicante dans l’âme. J’ai fait 5 ans dans le domaine de la communication avant de me reconvertir en tata la crêpière. Du Graphic Design au Community management, je m’attelais à découvrir la com sous tous ses angles et via ses différents métiers.

Vous considérez-vous influenceur.se ? Pourquoi ?
Je pense, pour ma part, que nous sommes tous quelque part des influenceurs. La différence se situe à l’échelle d’influence. Je peux influencer ma mère, mes copines, mon voisin. Mais Influencer toute une communauté avec des personnes qui ne me connaissent pas c’est différent. Si je prends l’exemple de ma page MMMH_LA CREPERIE ou c’est plus facile d’influencer car c’est un restaurant. On poste des photos qui donnent envie de déguster de bonnes crêpes, qui poussent à la consommation donc oui on influence des consommateurs en tant qu’entité mais à titre personnelle je dirais que oui j’influence mais uniquement mon cercle.

 

 

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Quelle est votre ligne éditoriale ?
Maman Kamite qui raconte ses déboires en tant qu’entrepreneur, sa vie de famille, qui met en avant la culture africaine et les entreprises locales qui se démarquent.

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Ce sont principalement des mamans, futures mamans, mères célibataires ou mariées, des jeunes cadres dynamiques d’Afrique et d’ailleurs, des entrepreneurs et des plus jeunes à la recherche de conseils pour se lancer également dans l’entrepreneuriat.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Grâce à des applications qui fournissent de jolis layouts, en prenant de belles photos avec filtres, toujours avec le bon angle. En étant drôle mais surtout vraie. Sur les réseaux sociaux, il ne faut pas jouer un rôle. Rester vraie est une des bases primordiales pour faire grandir sa communauté et la « qualité » de la communauté.

Quels sont vos projets en cours ?
Créer des ateliers de cuisine autour de la crêpe pour ceux qui souhaitent faire une reconversion dans ce métier d’artisan crêpier.

À quoi ressemble votre journée type ?
Mes journées sont plutôt classiques.
Apprêter les enfants, petit-déjeuner en famille, accompagner les enfants à l’école, gestion de la crêperie tout au long de la journée. Travailler sur les nouvelles stratégies, avancer sur les différents projets, m’occuper de bebe3 et mon époux, prendre un peu de temps pour moi.

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
Les défis du restaurant sont nos objectifs annuels :
– Augmenter la notoriété de Mmmh! La crêperie ;
– Faire connaître la crêperie à l’échelle Africaine.
– Normaliser le concept de restaurant crêperie en Afrique.

 

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Beaucoup d’idées me viennent de mes enfants et mon mari. Ce qu’ils font, ce qu’ils disent m’inspire beaucoup. Il me suffit de rester au salon ou dans leur chambre et de les observer ou interagir avec eux pour avoir tout de suite des idées de contenu.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Les comptes de mamans entrepreneurs : Naomi DinamonaKebe homePechens OwonaElisabeth Leila

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
What ever happens, Enjoy the journey.

 

Merci à Vanessa pour son partage ! Continuez à la suivre sur Instagram et Facebook. Découvrez d’autres profils créatifs sur notre blog !

les goumandises de séverin

Les gourmandises de Séverin, un blog made in Togo

Séverin Lawson est un jeune homme qui adore cuisiner. Finaliste dans la catégorie Food des ADICOMAWARDS, il a créé son blog « Les Gourmandises de Séverin » pour partager cette passion avec le plus grand nombre.

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Je suis un mélange de simplicité, d’authenticité et de curiosité.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ? 
Titulaire d’une Licence en Systèmes Informatiques et logiciels, j’ai à mon actif deux années d’expérience en tant que développeur d’applications. Actuellement je suis étudiant en Master de Computer Science. Depuis tout petit, j’étais passionné par la cuisine alors j’ai décidé de créer mon blog afin de partager mes recettes.

Vous considérez-vous influenceur ? Pourquoi ?
Oui sans trop de vanter😅. J’arrive à influencer les habitudes de consommation de ma communauté.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Des recettes étape par étape sur mon blog ; photos et vidéos sur les réseaux sociaux et des astuces de cuisine en stories.

 

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Mon audience est majoritairement composée de femmes de 25-34 ans à Lomé, Abidjan, Dakar etc.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
En gardant mon objectif qui est de proposer des recettes simples, rapides et facile à réaliser.

Quels sont vos projets en cours ?
Ouvrir très prochainement un restaurant et organiser des ateliers de cuisine.

À quoi ressemble votre journée type ?
Mes journées sont souvent partagées entre mon PC, la cuisine et les réseaux sociaux.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Je prépare souvent mes contenus le weekend. J’avoue qu’il m’arrive aussi de créer du contenu sur un coup de tête quand je suis inspiré.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Il y en a tellement. Principalement Karelle et Tabou en cuisine

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Le bonheur est fait de choses simples auxquelles nous donnons de l’importance.

 

Merci à Séverin pour son partage, retrouvez-le sur Instagram ou encore directement sur son blog.

Golden Connexion, deux besties passionnées par la mode

Basé à Paris, le duo d’amies partage sur les réseaux sociaux le meilleur de la mode et de la beauté. Découvrez l’univers de G et C !

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
2 Besties loving fashion and encouraging women to do what they love with passion

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Nous nous sommes connues au collège et depuis nous ne nous sommes plus quittées. C’est au cours de nos années universitaires que nous avons décidé de créer un blog et un compte Instagram en duo, étant toutes les deux passionnées par la mode. Suite à cela, nous sommes spécialisées en Marketing/Stratégie digital et E-Business.

Vous considérez-vous influenceuses ? Pourquoi ? 
Nous sommes créatrices de contenu en duo. Nous partageons nos passions (mode, beauté) sur les réseaux ainsi que sur notre blog. De par nos publications au quotidien, nous voulons donner envie aux personnes de notre communauté de suivre à leur tour leurs passions et de réaliser leurs rêves les plus fous. L’amitié est au cœur de tout cela. Nous prônons les amitiés saines, véritables, la sororité et la bienveillance. Au vu des retours positifs que l’on reçoit régulièrement, notre relation fusionnelle inspire.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Mode, Beauté, Lifestyle

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
France, Etats-Unis et Afrique (Côte d’Ivoire, Sénégal et Cameroun principalement).

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Nous faisons le contenu qui nous plait tout en exprimant notre créativité. On ne cesse de vouloir s’améliorer. Nous aimons tout particulièrement interagir avec notre communauté pour avoir des retours et partager notre passion pour la mode.

Quels sont vos projets en cours ?
YouTube

À quoi ressemble votre journée type ?
Matin : ouverture des mails, discussions avec les marques, publication contenu
Après-midi : shooting photo, tournage vidéo, tri et retouche photos
Soir : réunion pour discuter des projets futurs et s’organiser

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Une présence au quotidien : nous sommes très actives. Plus de vidéos sur Instagram et sur Youtube car c’est ce qui suscite le plus d’engagement. Continuer de travailler avec des marques nouvelles et partager nos découvertes avec notre audience.

Qui sont les créateurs de contenu qui vous influencent ?
Patricia Bright, Tamara Kalinic

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Nous sommes 2 jeunes femmes passionnées par la création de contenu. Nous prenons beaucoup de plaisir à créer chaque jour des choses nouvelles. Et ce qui est génial, c’est que notre communauté est toujours super enthousiaste à l’idée de découvrir des marques que l’on voit un peu moins sur les réseaux.

« The only way to do great work is to love what you do »- Steve Jobs

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Amour et bienveillance

Merci au duo Golden Connexion pour ce beau partage ! Continuez à les suivre et les soutenir sur leur blogInstagram, YouTube ou encore 21buttons. Découvrez d’autres profils créatifs sur notre blog

Odette Savi, jeune blogueuse béninoise et Miss photogénique

Odette Savi, jeune blogueuse béninoise, a débuté en ligne avec le blog Sur des stars. Depuis, sa ligne éditoriale a changé, laissant la place désormais au partage de paroles et d’actions religieuses. 

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Je suis une jeune blogueuse béninoise, rédactrice web, présentatrice web, Miss PHOTOGÉNIQUE.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
J’ai commencé cette aventure en 2016 sur Facebook par de petites publications sur mon compte. Au début, j’essayais de me mettre en contact avec des personnalités présentes sur Facebook. C’est ainsi que, grâce à l’un des amis connus, je suis devenue blogueuse et j’ai commencé à m’imposer.

Vous considérez-vous influenceuse ? Pourquoi ?
Oui. Parce que j’arrive à impacter mes followers à travers mes posts sur Facebook.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Le social

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Je suis suivie par plus de 9000 personnes sur mon compte privé.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
En lisant les autres. Mes photos également m’inspirent.

Quels sont vos projets en cours ?
Je voudrais créer un site de téléchargement de musique Gospel béninois puisqu’il est rare au Bénin. Animer ma page fb avec des contenus gospels.

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
Sortir de la masse

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
J’apprends toujours

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Mylène Flicka

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Parce qu’avec ma petite communauté, on arrive à explorer. En tant que Miss PHOTOGÉNIQUE, je voudrais être sur des affiches pour des publicités et autres.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Merci infiniment à vous pour cette interview.

Merci à Odette pour ses réponses, continuez à la suivre sur sa page personnelle Facebook ou sur sa page récemment renommée Yìn olowa

Lumière sur Sandrine Naguertiga, créatrice de contenu et afroptimiste !

Le 8 Mars Journée internationale pour les droits des femmes et non pas journée des femmes ou de la femme ! Cette journée est l’occasion de rappeler l’engagement quotidien et universel de femmes. Celle que nous avons souhaité vous présenter et à qui nous souhaitons apporter notre soutien cette année fait parties des créatrices de contenus engagées et inspirantes, tournées vers le continent. Lumière sur Sandrine Naguertiga.

Peux-tu te présenter ?

Hello la Team et chers abonnés, je suis Sandrine NAGUERTIGA,  Blogueuse Franco-Tchadienne et experte dans les domaines de la stratégie et communication digitale. Véritable passionnée par les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Après un parcours académique qualifié d’atypique (Université Sorbonne puis École Nationale de l’Assurance et École Supérieure de Commerce pour finir), j’exerce mon métier essentiellement dans les domaines liés à la stratégie de communication digitale et la marque. Je conseille plusieurs acteurs de l’économie (ONG, entreprises, associations, personnalités…) dans les domaines liés à la stratégie digitale, à la communication et à l’E-réputation. Me définissant comme une “Afroptimiste”, c’est à dire ayant décidé de voir l’Afrique du bon côté, je fais partie de ces personnes qui se disent que tout est possible “à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais”.

Qu’est ce que signifie créatrice de contenus pour toi ?

Une créatrice de contenus pour moi est semblable à un couteau suisse (pour caricaturer). C’est une personne capable de réunir plusieurs compétences dans des domaines diverses et pourtant bien complémentaires. La créatrice de contenus imagine, conçoit, développe un support (qui peut avoir plusieurs formats : texte, illustrations, audios, vidéos…) innove et le propose à un public cible tout en étant capable d’en faire la promotion. Plusieurs compétences donc se regroupent : la création, la rédaction, la communication, l’esprit de synthèse, l’argumentation, l’analyse, le marketing…)

Qu’est ce que cela t’a apporté ?

En tant que blogueuse par exemple, créer du contenu pour le web m’a permis de m’exprimer sur des thématiques qui me passionnaient ou me tenaient à cœur. J’ai acquis, au fil du temps, des compétences grâce à ce travail de création. Je me suis auto-perfectionné, j’ai été curieuse et ai été à la quête de renforcement de compétences. J’ai également développé un réseau clé à travers le monde (comme quoi, internet est finalement un village) mais surtout j’ai très vite gagné en notoriété et ma E-Réputation a été développée : un élément capital dans ma carrière professionnelle.

 

Pourquoi peut on te qualifier de créatrice de contenus “engagée” ? Comment soutiens-tu les femmes du continent ?

Peut-être parce que je mets ma E-Plume au service de causes bien spécifiques telles que : la promotion des talents africains…particulièrement africaines du continent mais aussi parce que je mène un combat depuis plusieurs années qui vise à briser les tabous autour des menstruations chez les filles et femmes en Afrique et dans le monde. Même lorsque je publie du contenu sur les réseaux sociaux, la plupart du temps, ces contenus prennent un angle positif. Ils font, pour la plupart du temps, la promotion des femmes du continent.  Je ne cesse de répéter cette magnifique citation :

Soyons ces femmes qui réparent les couronnes d’autres femmes sans dire au monde qu’elles étaient brisées

Comment faire pour s’engager à tes côtés ?

Rien de plus simple : tout passe par une prise de contact (par mail, téléphone ou même via les réseaux sociaux tels que Twitter ou LinkedIn sur lesquels je suis très active). Mais je reste persuadée qu’il est toujours important de lier les actions digitales par des actions concrètes pour encore plus d’impact : surtout lorsqu’on voit les réalités de notre continent en matière d’accès au numérique dans certains pays. Je mène bien souvent des actions en lien avec le digital et je reste toujours à l’écoute de toutes les opportunités. J’ai tendance à repousser les pessimistes et à faire chemin avec les personnes qui se disent que « tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais ».

 

Parle-nous de ton dernier projet coup de cœur ?

J’ai de très beaux projets en réserve que je peaufine encore en coulisse : des projets toujours en lien avec mes activités dans le domaine du digital….et de la radio (shuut : je préfère donc ne pas en dire plus pour l’instant et préfère vous laisser le découvrir ultérieurement) Sinon pour l’instant je m’investis toujours dans mon blog professionnel et personnel (lafroptimiste.com).

Quels conseils donnerais-tu à toutes les créatrices de contenus ou en devenir ?

C’est assez prétentieux à ce stade pour moi de donner des conseils, mais je pense tout de même que la clé de cette activité ou carrément de ce métier à part entière c’est avant tout la passion. On le fait parce qu’on aime le faire et qu’on a plaisir à partager avec les autres. La création de contenus est en quelque sorte un don de soi sans arrêt. On créée pour toucher les autres et parce qu’on veut partager une information, un ressenti, un conseil ou tout autre contenu avec du public.
Puis il faut bien faire les choses. C’est-à-dire faire attention aux fausses informations qui pullulent en continue sur le web malheureusement. Et surtout si les informations ne nous appartiennent pas complètement ou même partiellement : citez la source. En étant créatrice de contenus, on doit s’assurer d’être crédible et donc d’y mettre du sérieux, du professionnalisme et de la qualité…puisqu’on engage notre image et nom, bref notre E-Réputation.
Ensuite j’ai également envie de dire : « SOYEZ CREATIVES  Mesdames » ! Faites-nous rêver. Apportez cette touche de personnalité qui fera la différence dans ce beau monde de créatrices de contenus. Appropriez-vous les canaux digitaux que vous aimez ou apprenez à le faire (on apprend sans cesse sur cette terre). Soyez vraies, soyez vous-mêmes
Enfin, « networkez », « réseautez »,  « cherchez », allez vers les autres également. Le web est un village où tout peut vite aller et où les opportunités grandissent au quotidien. N’ayez pas peur et foncez : telles sont les clés.

Bonus : quelles sont les influenceuses engagées et féministes que tu suis ?
Il y en a tellement qu’on ne pourrait toutes les citer. Les femmes ont réellement pris le pouvoir du web. Je citerai donc quelques unes : Moussokoro Diop, Fatima Harber (consoeur Mondoblogueuse du Mali), Chantal Naré, Dr Djamila Ferdjani (qui est un veritable rayon de soleil et d’espoir sur les réseaux sociaux), Nabou Fall, Rebecca Echonong, Paola Audrey…. sans oublier bien entendu la Geekette Edith Brou (pour ne citer qu’elles).

Un dernier mot pour cette journée du 8 mars ?

Le 8 Mars, selon moi, perd malheureusement sa valeur de base qui est celle d’être une journée de lutte pour les droits des femmes mais également de promotion des hommes et des femmes qui sont engagés au quotidien pour de meilleures conditions de vie et des droits des femmes. On parle de plus en plus souvent de « fête de la femme » : sacrilège ! Cette journée du 8 Mars est donc selon moi chaque jour un moment important et non pas uniquement le 8 Mars.

Merci à Sandrine pour son précieux témoignage. Retrouvez-là sur Twitter, Instagram ou encore sur son site lafroptimiste.com !

nappy du congo

Larissa Diakanua, une Nappy du Congo

Finaliste aux ADICOMAWARDS dans la catégorie beauté, parrainée par Mixa, Larissa a créé la plateforme « Nappy du Congo » dans le but de réunir les femmes de la RDCongo aux cheveux naturels. Cette communauté compte aujourd’hui plus de 5000 membres !

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
Journaliste de formation, blogueuse, spécialiste en communication, écrivaine, créatrice de contenu, locksée et boule d’énergie. J’anime depuis des années la communauté sur Facebook Nappy du Congo, qui réunit les femmes aux cheveux naturels du Congo et d’ailleurs.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Après des études en journalisme, j’ai travaillé pendant des années en tant que présentatrice (du journal et d’émissions) radio, tout en étant blogueuse. Puis ayant fait une spécialisation en communication, je me suis lancée dans les relations publiques et la communication institutionnelle, et depuis quelques années dans le community management. Consultante en communication, écrivaine, créatrice de contenu, j’anime depuis des années la communauté sur Facebook Nappy du Congo, qui réunit les femmes aux cheveux naturels du Congo et d’ailleurs. La communauté a plus de 5000 membres, et un groupe Whatsapp dérivé, qui est devenu au-delà de la simple plate-forme d’échange sur la beauté du cheveu et ce qui y est lié, un véritable lieu de networking et de partage d’opportunités.

Vous considérez-vous influenceuse ? Pourquoi ?
Un influenceur désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment des réseaux sociaux. Ils créent des contenus qu’ils diffusent sur les réseaux sociaux. Avec Nappy du Congo, je suis devenue influenceuse dans le domaine du cheveu naturel, ayant collaboré avec certaines marques locales pour promouvoir leurs produits et leurs services. Bien avant cela, en tant que productrice de contenu de manière générale sur mon profil Facebook et sr Twitter, j’ai été approchée par de nombreuses entreprises pour participer à des activités qu’ils organisent.

 


Quelle est votre ligne éditoriale ?
Sur les réseaux sociaux, je communique avec liberté, une grosse pointe d’humour, et un esprit critique. Même dans la critique, tout se fait dans le respect le plus strict de ceux qui me suivent.

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Pour Nappy du Congo, mon audience est essentiellement féminine, des femmes actives, des étudiantes, des entrepreneures, des indépendantes.
Pour mes autres activités, le public est plus varié, autant masculin que féminin. C’est notamment le cas pour #JeudiKretch, un hashtag initié depuis 2015, à travers lequel j’interpelle ceux qui me suivent sur diverses questions de société.
(Le kretch est un terme propre au kinois-habitant de Kinshasa, la capitale du Congo, qui désigne un quolibet ou une pique. J’ai choisi le jeudi juste comme ça pour ces coups de gueule et c’est une formule qui a bien marché)

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Le contenu je le trouve autour de moi, sur internet, dans mes discussions avec les autres, bref tout est une source d’inspiration.

Quels sont vos projets en cours ?
Mon principal projet est le lancement d’une série de podcast sur les femmes. C’est en cours d’élaboration.

À quoi ressemble votre journée type ?
Mes journées sont très différentes les unes des autres. Certains jours, je me lève tôt pour répondre à certains rendez-vous et il arrive qu’au fil de ces rencontres, une idée me vienne. Je la note dans mon téléphone, pour l’exploiter plus tard.
Certains jours, quand je n’ai pas l’obligation d’être debout tôt, je prends mon temps pour me réveiller, puis je passe un peu de temps sur les réseaux sociaux. Je regarde des contenus sur toutes les plateformes, je les enregistre, j’en partage certains, je rédige pour des personnes qui ont recourt à mes services, je produis des contenus a partir de photos prises ca et la, bref mes journées sont remplies, différentes les unes des autres, et trépidantes.

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
Le plus gros défi, c’est la connexion internet, pas toujours stable au Congo. Parfois aussi le manque de temps pour travailler sur des projets personnels, et au Congo le fait que les influenceurs sont très peu pris en compte par les entreprises et les marques. Ceux qui le font sont souvent assez ingrats en termes de proportion par rapport à leurs demandes et à la contrepartie qu’ils donnent. Il y a bien sûr des exceptions mais c’est la situation de manière générale.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Ma stratégie est basée sur les échanges que nous avons dans la vraie vie ou sur les échanges sur Whatsapp. Une idée jaillit, je la note, pour m’en servir pour un post,. Parfois ce sera un texte avec une photo d’illustration, parfois, une petite vidéo, parfois le contenu d’une autre page ou d’un sujet intéressant de Youtube.
Parfois c’est plus structuré, du contenu préparé pour des semaines et noté quelque part, que je partage au moment opportun.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Il y a une communauté que je suis beaucoup, Si toi aussi tu es nappy-Staten, et Nappy Care, une plateforme qui appartient à une membre de notre de notre communauté nappy. Pour le reste, je m’inspire un peu partout, sur les réseaux sociaux et même en dehors.

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Le principal avantage de travailler avec moi c’est l’accès à cette plateforme dynamique de femmes de divers domaines, mais aussi à un public plus varié , des jeunes et des moins jeunes, et une créativité dans les contenus avec toujours une touche personnelle.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Mon astuce : beaucoup de spontanéité, de la fraicheur, une curiosité et une remise en question permanente !

 

Retrouvez Larissa et Nappy du Congo sur Facebook, Instagram, Twitter et sur le site moyindo.cd. Consultez d’autres profils créatifs sur le blog Totem Experience.

Achille Tchabou

Les Zopitaux Et Moi, coup de cœur de TV5MONDE Afrique

Derrière la plateforme Les Zopitaux et Moi, qui a remporté le prix coup de cœur de TV5MONDE Afrique aux ADICOMAWARDS, se cache toute une équipe ! Son fondateur, Achille Tchabou, médecin, nous en dit plus !

 

Comment vous définiriez-vous en un tweet ?
J’aime dire que je suis un Digital Health Evangelist pour rire mais en un tweet je dirai que je suis Médecin qui a un gros coup de cœur pour la communication digitale en santé.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Je suis actuellement doctorant en Médecine. Il y a presque 4 ans, j’ai suivi une formation en social média management appliquée à la santé, ce qui a ouvert mon esprit sur les infinies possibilités de communication que nous offrait le digital. Depuis ce temps je suis le Digital Content Manager de la plateforme que j’ai fondée. Nous créons du contenu santé sur les réseaux sociaux.

 

 

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Vous considérez-vous influenceur ? Pourquoi ?
Personnellement non mais avec notre plateforme oui parce que nous avons énormément de personnes prendre de nouvelles résolutions grâce à nos conseils ou à nos informations. Des gens ont changé leur perception de plusieurs sujets de santé, partant du don de sang, aux bilans prénuptial etc… et même de leurs appréhensions par rapport à certaines structures de soins.

Quelle est votre ligne éditoriale ?
Notre ligne éditoriale est centrée sur la santé et le bien-être. Parler de santé, médecine, parles des structures de soins et bien être, informer sensibiliser, appeler à un changement de comportement vis à vis d’un sujet de santé.

Quelle est votre audience et a t-elle des caractéristiques spécifiques ?
Notre audience est classée en 2 : d’abord les personnes hommes et femmes de 18 à 65 ans qui s’interrogent sur leur santé, sont curieux, sont des consommateurs des informations que nous partageons et les professionnels de la santé qui aiment ce que nous faisons, apportent souvent leur aide en commentaire ou par des collaborations.

Comment réussissez-vous à créer du contenu attrayant ?
Le premier ingrédient est le « français facile » que nous utilisons. Nous voulons par tous les moyens parler un langage très accessible de l’internaute. Ensuite l’autre chose était l’usage du contenu audiovisuel par notamment l’infographie qui regroupe sur un visuel des informations essentielles avec iconographies attrayantes qui captivent et aident l’internaute à comprendre l’essentiel. Ensuite avec les contenus Vidéos et Lives, les scènes de films avec des séquences de santé qu’on exploite, un peu de newsjacking on surfe sur les gouts des internautes pour ne pas les ennuyer.

 

Quels sont vos projets en cours ?
On veut lancer bientôt notre premier magazine papier et lancer notre émission santé.

À quoi ressemble votre journée type ?
Le matin tôt, je vérifie les contenus, les publie, les programmations et tout puis Hôpital le matin où j’essaye le plus possible de pas rester connecté 🙂 L’après-midi c’est toujours soit hôpital, soit activité dans mon église locale, et la nuit je travaille sur de nouvelles publications, des contenus pour le chatbot, des montages vidéos etc…

Quels sont les défis auxquels vous devez faire face ?
Le temps est le principal défi parce que ce n’est pas évident de concilier les études, les stages à l’hôpital et les activités en ligne.
Ensuite il y a de gros défis de moyens financiers, motiver les collaborateurs, payer du matériel, la connexion internet.
Le 3ème pour moi c’est rester compétitif, ne pas ennuyer l’internaute, toujours être dans son besoin, lui offrir ce qu’il demande mais surtout ce dont il a besoin en matière de santé.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre stratégie de création de contenu ou vos envies de création ?
Nos formats principaux sont l’infographie et la vidéo. Nous traitons chaque sujet avec plusieurs infographies et des vidéos. Nous préparons le contenu écrit avec toutes les informations qu’il faut, on fait valider avec le reste de l’équipe, puis on donne au graphiste qui l’illustre, on fait un petit calendrier de diffusion. Pour la vidéo c’est pareil, si c’est une vidéo style animation on le fait, on valide ensemble et on publie. Si c’est une interview, on cale dès le début le sujet, on tourne et on publie.

Qui sont les créateurs de contenus qui vous influencent ?
Dr Abdoulaye Diop Gynécologue-Obstétricien, oasis de la maternité, la case maternelle, Chedjou Kamdem, Sandra Marilyne

Pourquoi recommanderiez- vous aux marques de travailler avec vous ?
Simplement s’ils ont à cœur de toucher une cible qui se soucie de sa santé et de son bien-être.

Le mot de la fin vous revient : une dernière chose à partager (un compte, une citation, une astuce, un coup de cœur) ?
Merci aux Adicom de nous avoir permit d’être sacré COUP DE CŒUR DU JURY à cette édition des Adicom Awards. C’est tellement une fierté pour nous.

 

Merci à Achille pour son partage, continuez à suivre de près Les Zopitaux et Moi sur leur site, la page Facebook, Twitter ou encore Instagram

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